SONDAGE A SIGNER SVP
http://www.lavangua rdia.es/lv24h/ 20081130/ 53590177965.html
Le "si" doit l'emporter
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VOTEZ NO, on perd, merci !!!
http://latimesblogs.latimes.com/unleashed/2009/01/jack-hanna-anno.html Billy doit aller dans un sanctuaire !!!
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http://www.vsd.fr/contenu-editorial/ca-fait-debat/le-duel/98-faut-il-interdire-les-corridas-----------------
http://www.m6info.fr/cms/display.jsp?id=ri2_852741&portal=awl_787239&err=1-------------------------
Votez 'ja' (=oui) à la question : Est-ce une bonne idée qu'Anvers (Belgique) donne des subsides pour stériliser les chats domestiques?
Gaarne JA stemmen en verder verspreiden want in België is het dierenwelzijn nog heel wat slechter geregeld dan bij ons
http://www.gva.be/vindzoek/archief/Artikel_detail.asp?id=%7b65711D26-7DB1-441F-90D7-E38DE4F240B7%7d&check=online*****************
Enquete: Você é a favor da manutenção de animais silvestres e exóticos nos circos brasileiros?"
http://209.85.135.104/translate_c?hl=fr&sl=es&u=http://www.lavanguardia.es/lv24h/51260474815.html&prev=/search%3Fq%3Dhttp://www.prou.cat/castellano/%26hl%3Dfr%26sa%3DG&usg=ALkJrhghJNAiajkNTbgh_97st9oqMTM_kg***************
Au groupe de Paris contre les cirques avec animaux et à tous les autres militants, svp voter "si" à la question sur l'interdiction de ces cirques en Espagne :
¿Deben prohibirse los circos que emplean animales en sus espectáculos?
VOTEZ "SI"
http://www.adn.es/ciudadanos/20090107/POL-0001-circos.htmlhttp://tinyurl.com/6snsut Ce genre de sondage dans les médias espagnols est très suivi. Merci.
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La première plainte déposée concernera ce chien croisé Galgo et diffusé sur ce blog. Il avait été trouvé à Badajoz, attaché et battu à mort. Cette plainte est déposée dans le cad ...
Pour lire la suite cliquez ici
http://agir-pour-les-galgos.over-blog.com/article-26538290.html PETITION A SIGNER CONCERNANT CE MASSACRE
http://www.firmasonline.com/1firmas/camp1.asp?C=1987 Pour signer suivez les étapes suivantes:
Firmar esta campana
Firmar sin certificado
Nom et prénom
N° de carte d'identité
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Ville
Code postal
Pays
Continuar
Continuar
>>>> vous recevrez à la suite de votre signature un message de confirmation
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Je transmets :
QUEL HYPOCHRITE CE DRUCKER!!
IL INVITE DEMAIN MATIN SUR EUROPE 1 KARL LAGARFELD DANS SON EMISSION POUR LUI FAIRE DES LOUANGES!! QUELQUES JOURS APRES QUE LE NAZI DE LAGARFELD A DIT QU'IL ETAIT TOTALEMENT FAVORABLE A LA FOURRURE!!
VOUS POUVEZ LAISSER DES COMMENTAIRE ET METTRE UN MESSAGE SUR LE FORUM DE L'EMISSION:
http://www.europe1. fr/Radio/ Emissions/ Europe-1- Decouvertes- Michel-DRUCKER#
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Aidez à construire une Europe sans OGM
Le 25 octobre, le Commissaire européen à l'Environnement, Stavros Dimas, s'est courageusement opposé aux grandes compagnies de l'agrobusiness – refusant d'autoriser la culture de deux variétés de maïs génétiquement modifié (le Bt11 et le 1507).
Mais les compagnies agrochimiques qui poussent ces semences génétiquement modifiées ont de puissants alliés. Il est possible que la décision sans précédent du Commissaire Dimas soit renversée à la prochaine réunion de la Commission européenne.
Une puissante protestation du public est nécessaire pour obtenir que la Commission place la santé de ses citoyens avant les intérêts économiques de deux compagnies chimiques.
Vous pouvez aider en envoyant ce message à Manuel Barroso, Président de la Commission européenne, et aux Commissaires Dimas, Vassiliou (consommateurs), Fischer-Boel (agriculture) et Barrot (transports).....
http://write-a-letter.greenpeace.org/332 ++++++++++++++++++++++++++
Scandaleux !
Les traditions espagnoles sont excessivement nombreuses. Mais le plus scandaleux est que les espagnoles ont pris pour cible les animaux.
Le week-end du 15 novembre 2008, s'est déroulé une nouvelle tradition où la pauvre victime sera encore et toujours un taureaux.
Je vous laisse lire le contenu de l'article que j'ai reçu.
Au nom de mon association Stéphane Lamart j'ai manifesté mon écoeurement auprès des différentes personnalités cité en référence, à qui j'ai envoyé un mail de contestation.
Le week-end du 15 novembre, un festival sadique appelé "Toro JúBilo" aura lieu dans Soria, l'Espagne. Pendant ce festival, des boules sont attachées aux cornes d'un taureau et incendier.
Le taureau est alors libérée dans la rue et ne peut rien faire mais tourne dans la douleur, souvent en brisant les murs dans une tentative d'éteindre le feu.
L'agonie qu'il doit subir est inimaginable. Ces boules ardentes peuvent brûler pendant des heures et ils brûlent les cornes du taureau, son corps et ses yeux.
Tous les spectateurs applaudissent et courent après la victime. Sil vous plaît joignez-vous à moi en envoyant un e-mail aux autorités Espagnoles afin de leur demander de mettre fin à ce soi-disant "festival" maintenant.
L'association Américaine PETA à lancé une pétition pour faire face à cette ignoble spectacle. Voici le lien
http://action.peta.org.uk/ea-campaign/clientcampaign.do?ea.client.id=5&ea.campaign.id=1861 http://tinyurl.com/8ozuwx********
Pour écrire aux representants Européens et leur faire savoir qu'il n'est plus acceptable que ces fiestas pourries doivent cesser au plus vite, voici leurs adresses mail Exemple de lettre en Anglais, ou vous pouvez écrire votre propre lettre, je pense qu'en tant que représentant Européens, ces messieurs dames doivent pouvoir comprendre les deux.
jlrzapatero@presidencia.gob.es;
pilar.ayuso@europarl.europa.eu;
pilar.delcastillo@europarl.europa.eu;
luis.degrandespascual@europarl.europa.eu;
cristina.gutierrez-cortines@europarl.europa.eu;
david.hammersteinmintz@europarl.europa.eu;
esther.herranzgarcia@europarl.europa.eu;
florencio.luqueaguilar@europarl.europa.eu;
jaime.mayororeja@europarl.europa.eu;
inigo.mendezdevigo@europarl.europa.eu;
willy.meyerpleite@europarl.europa.eu;
raul.romeva@europarl.europa.eu;
joseignacio.salafranca@europarl.europa.eu LETTRE :
In Medinaceli, a picturesque town in the province of Soria, Spain, a "tradition" called "Toro Júbilo" brings shame on Spain. On the second weekend in November, balls of pitch (a sticky black substance made from tar or turpentine) will once again be stuck onto the horns of a bull and set on fire. The burning bull is called "Toro de Fuego" (literally "bull on fire").
The bull is then released onto the streets and can do nothing but run around in pain.. The bull often smashes into walls in an attempt to douse the fire.
The agony the bull must suffer is unimaginable. These fiery balls can burn for hours, and they burn the bull's horns, body and eyes and cause tremendous stress - all while spectators cheer and run around the victim.
You have the power to stop this: Please, please prevent this terrible thing from happening! You have the power to put an end to this vile practice.
Regards from a horrified member of the human race.
Sincerely,
Your name, nom prénom
Region, country, ville pays
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http://fr.news.yahoo.com/63/20090105/tfr-des-dizaines-d-animaux-morts-dans-un-019dcf9.html>05-01-09
Des dizaines d'animaux morts dans une ferme-zoo à l'abandon
Cette ferme-zoo de Cessenon-sur-Orb, près de Béziers, dans l'Hérault, connaissait un certain succès auprès des touristes. Avec ses 800 animaux, c'était l'occasion de découvrir la vie à la ferme. Lire la suite l'article Ceparc privé fut créé en 1989.
A l'époque de sa création, il s'agissait d'une ferme pédagogique.
Puis au fil des années, à partir des années 2000, les propriétaires de la ferme-zoo ont souhaité "mettre l'accent sur la présentation et la reproduction des différentes races d'animaux domestiques".
Certaines races étant uniques en France.
Sur le site Internet de la ferme-zoo, il est même précisé que « la sauvegarde de ces espèces est pour nous, très importante, et nous essayons également d'en assurer la reproduction afin de garder ce patrimoine génétique. » Mais au-delà des belles paroles, il y a la réalité. Et cette réalité, depuis quelques jours, n'est pas très reluisante.
Selon Midi Libre, la ferme-zoo présente un véritable spectacle de désolation.
On y découvre ainsi des animaux entassés sous une bâche, d'autres amaigris qui ne tiennent pas sur leurs pattes. La ferme-zoo se trouverait dans un abandon total.
Les poules, canards, chèvres, vaches errent dans l'enceinte d'un parc délabré et sale. Ce sont les villageois qui viennent en aide aux animaux.
Dans Midi Libre, l'un d'eux confie : « On vient leur donner à manger.
Samedi, j'ai aidé à évacuer le corps d'un âne mort avec mon tracteur. C'est affreux. » Une trentaine de bêtes ont été retrouvées mortes soit par "négligence soit par maltraitance".
Dans Midi Libre, un témoignage anonyme précise que "lorsque je suis allé sur place, il y a peu de temps, certains cadavres étaient en état de putréfaction. Une vingtaine d'animaux étaient décédés, d'autres étaient à l'agonie et ont dû ensuite être euthanasiés. Les pensionnaires n'étaient pas assez nourris et entretenus".
Ce week-end, les fonctionnaires de la Direction départementale des services vétérinaires se sont affairés dans cette ferme-zoo.
Florence Smyej, chef du service santé et protection animale de la DDSV de l'Hérault précise que « Parmi les animaux morts, nous avons retrouvé des moutons, chèvres, bovidés, volailles, équidés. » Reste maintenant à connaître les raisons qui ont fait que cette ferme-zoo devienne un véritable mouroir pour animaux.
Selon certaines sources, la ferme-zoo aurait fait faillite.
En attendant que la lumière soit faite sur cette triste affaire, les gendarmes recherchent activement l'employé chargé de l'entretien de la ferme-zoo.
Et le suivi provisoire des animaux est assuré par les SPA des secteurs de Montpellier et Béziers.
Normalement la ferme-zoo devait ouvrir le 9 février prochain. Mais là, c'est une autre histoire...
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Le désherbant Roundup serait un poison pour les cellules humaines
lire :
http://www..ladepeche.fr/article/2009/01/08/520024-Le-desherbant-Roundup-serait-un-poison-pour-les-cellules-humaines.html ++++++++++++++++++++++++++
Le 30 décembre dernier, en Inde du Sud, plus de 15 000 personnes ont manifesté leur opposition à la création d’une réserve de tigres dans le parc de Mudumalai. Un nouveau cas de conflit qui montre que, malgré les discours à l’eau de rose des institutions de conservation, concilier protection des espèces et droits des peuples autochtones reste un problème épineux.
Le parc de Mudumalai, dans l’état du Tamil Nadu, fut créé en 1940. Originellement de 60 km², il couvre actuellement 321 km². La totalité de cette superficie a été déclarée comme « habitat critique du tigre » et la création d’une zone tampon d’un rayon de 5 km autour de la zone a été proposée par le Département des Forêts. C’est en 2006 que le gouvernement indien amendait la loi de protection de la faune sauvage pour y inclure la catégorie « Réserve de tigres ». Ces réserves, conçues comme la plupart des aires protégées, comprennent un noyau, dit « habitat critique du tigre » et une zone périphérique, la zone tampon. La partie centrale doit demeurer « inviolée », en d’autres termes, exempte de toutes activités humaines. Dans le texte de loi, une telle inscription doit obligatoirement faire l’objet d’une consultation publique, obtenir l’accord des tribus résidentes et des peuples forestiers de la zone et des avis d’experts documentés. Dans la zone tampon, vivre et travailler est encore possible, mais avec des restrictions que le gouvernement a toute amplitude d’imposer.
Pour les autorités locales, les habitants et de nombreux collectifs d’usagers, l’inscription de Mudumalai en réserve de tigres est totalement illégale. Selon les déclarations du People’s Livelihood Rights Protection Movement, la notification en réserve de tigres s’est faite sans le consentement des Gram Sabhas, les assemblées villageoises, sans aucune consultation publique et en l’absence totale de recherche scientifique.
Face à cette vive opposition, les déclarations publiques du gouvernement se veulent rassurantes, quoique complètement démagogiques. Le gouvernement accuse les braconniers et les contrebandiers d’exploiter la crédulité des villageois pauvres et précise que dans la zone centrale, un dédommagement de 1 million de roupies (15 200 €) a été accordé à près de 350 familles délogées (ce qui revient à 43 €/familles pour quitter sa terre…). Il affirme également que les gens vivant en zone périphérique ne seront pas délogés mais pourront grandement bénéficier du projet. Une fois encore, on cherche à faire passer la pilule avec l’écotourisme, une activité pour le moins anecdotique mais toujours mise en avant comme capable de fournir des revenus compensatoires à ces familles dont le mode d’existence et les perspectives de développement se trouvent totalement bouleversés.
Peu convaincus, les opposants revendiquent les droits des autorités traditionnelles à gérer elles-mêmes la terre et les ressources forestières, des droits accordés par le Forest Right Act depuis 2006. En effet, fort des précédents, les populations locales ne peuvent plus se résigner à accepter l’autorité de l’Etat en la matière. Car le conflit ne date pas d’hier. En 1969, 32 000 ha de terres furent saisis par le gouvernement du Tamil Nadu, déniant tout droit aux personnes vivant sur ces terrains d’y développer les infrastructures nécessaires à leur besoin, comme la construction d’habitats, d’écoles ou d’hôpitaux, l’approvisionnement en eau potable ou en électricité. Plus de la moitié de cette surface a été placée sous le contrôle du Département des Forêts, laissant libre cours à toute une série d’actes frauduleux et d’abus de pouvoir. Destruction des champs, extorsion de fonds, arrestations, les premières évictions ont débuté en 1978, systématiquement accompagnées de brutalité, menant jusqu’en 1981 à de violentes oppositions et à ce qu’un cultivateur, nommé Louis, s’immole lui-même en signe de protestation.
Les manifestations de mardi dernier sont la résonance de cette situation historique dramatique, où la corruption s’est fait un matelas douillet dans le lit de la protection de la nature. En mars 2008, une précédente marche de protestation à Masinagudi condamnait les projets du ministère de l’environnement, accusant également des ONG internationales comme le Bombay Natural History Society et le WWF de participer à cette usurpation de droits. Pour les Adivasis, la tribu autochtone, ce ne sont pas leurs activités de subsistance qui menacent la biodiversité mais les malversations de quelques puissants, notamment dans l’exploitation du bois, de connivence avec les autorités forestières.
Il ne reste que 37 tigres à Mudumalai. De quoi largement justifier que des moyens soient alloués, certes, mais qui, mieux que les populations avec qui ils cohabitent, seraient à même de gérer leur protection ? Si légalement, ce dernier point est admis, il semblerait que sur le terrain la situation reste des plus confuses.